Outils pour utilisateurs

Outils du site


livres:vers_un_numerique_responsable_-_vincent_courboulay





Vers un numérique responsable - Repensons notre dépendance aux technologies digitales

Retour vers l'accueil de la catégorie des livres

Couverture du livre "Vers un numérique responsable"

Caractéristiques
Auteur Vincent Courboulay
Éditeur Actes Sud
Collection Domaine du possible
Date de parution 20/01/2021
Langue FR
Nombre de pages 224
Format 14 x 19 cm
EAN 978-2330143756
ISBN 2330143753
Page Web (éditeur) Vers un numérique responsable


Présentation par l'éditeur

Derrière une image immatérielle, la révolution majeure qu'est le numérique a un impact considérable tant sur l’environnement qu’au niveau social. Aucun secteur d’activité n’a eu une incidence si systématiquement négative sur la planète tout au long de son existence, alors qu’il se présente drapé dans des habits de lumière. Pourtant le numérique en soi n’est ni bon ni mauvais. Il doit trouver sa place comme simple auxiliaire permettant aux citoyens de mieux vivre. Pour l’auteur, repenser nos usages est une nécessité démocratique, environnementale, sociale, sociétale autant dans notre relation à l’autre qu’à soi.


L'auteur

Vincent Courboulay est ingénieur et maître de conférences en informatique à La Rochelle Université. Depuis dix ans, il se spécialise dans le numérique responsable. En 2018, il fonde l'Institut du numérique responsable, dont il devient directeur scientifique. Il travaille actuellement sur la notion d'intelligence artificielle responsable.

Source : Actes Sud


Table des matières

  • Préface de Jacques-François Marchandise
  • Introduction
  • Chapitre 1 : De l’autre côté de l’écran : Bienvenue en hell dorado
  • Chapitre 2 : Reeeboot®
  • Chapitre 3 : e-sclavage moderne
  • Chapitre 4 : L’argent ne fait pas l’e-bonheur
  • Chapitre 5 : Inconnu à cette adresse
  • Chapitre 6 : Toutes les informations ne se valent pas
  • Chapitre 7 : Entre rêve et r-IA-lité
  • De Janus à Minerve
  • Une journée numérique responsable


Notes de lecture

Introduction

[…] Le numérique n’existait pas avant, et c’est bien là le problème. Alors il faut apprendre vite pour ne pas répéter des erreurs que nous avons faites dans d’autres domaines tels les transports, la religion ou l’agriculture.

Ce sont ainsi des paradoxes, des errements, des impacts et des réussites d’un secteur finalement immature que nous allons aborder dans la suite en essayant d’apporter un éclairage constructif pour faire converger les transitions environnementale et sociale avec la transition numérique et aller ensemble vers un numérique responsable.

Car le numérique en soi n’est pas bon ou mauvais. Ce serait une vision simpliste et fausse que de l’affirmer. Il doit trouver sa place comme simple auxiliaire permettant aux citoyens de mieux vivre et non pas de se développer dans nos sociétés tel un parasite.

De dieu, il doit devenir compagnon. De Janus, il doit devenir Achate.1)
La difficulté d la tâche ne la rend pas pour autant impossible.

Introduction – Pages 29 & 30


Chapitre 1 : « De l’autre côté de l’écran : Bienvenue en hell dorado »

Les matières premières, droit d’inventaire

Littéralement, que se cache-t-il derrière nos écrans ?

Si l’on prend l’exemple d’un smartphone, pas moins de 70 matériaux sont nécessaires à sa fabrication, et cela sans compter l’énergie primaire nécessaire à la fabrication (pétrole ou charbon).

On estime entre 30 à 50 % de matières plastiques plus ou moins recyclables, 10 à 50 % de verres et céramiques et 10 à 50 % de métaux utilisés pour confectionner nos téléphones.

En ce qui concerne les métaux, on compte de 80 à 85 % de métaux ferreux et non ferreux tels le cuivre, le zinc, l’étain, le chrome et le nickel ; 0,5 % de métaux précieux tels l’or, l’argent, le platine et le palladium ; 0,1 % de terres rares et 15 à 20 % d’autres substances comme le magnésium, le carbone, le cobalt ou le lithium.

Tous ces matériaux nécessitent évidemment d’être extraits de la croûte terrestre et purifiées, et pour ce faire, il faut beaucoup d’énergie (pétrole et charbon) ainsi que des produits chimiques pour raffiner les roches extraites.
[…]

Les terres rares sont un groupe de métaux aux propriétés voisines […]. Longtemps ignorées par l’industrie, elles sont devenues, grâce à leurs propriétés physico-chimiques, ce que l’on pourrait appeler « les vitamines du numérique », à savoir qu’elles sont très utiles en très faible quantité. […] Les smartphones actuels ne contiennent que quelques milligrammes de ces terres rares […].

Ces métaux ne sont pas rares à proprement parler. Ils sont beaucoup plus présents dans la croûte terrestre que l’or ou l’argent, par exemple. […] Mais alors pourquoi les qualifier de rares ? La raison est qu’on en trouve partout dans le monde mais en très faible quantité par tonne de roche extraite.

Il faut donc extraire et traiter un grand volume de roches, ce qui multiplie les impacts car, comme pour toute opération d’extraction de matière première, celle des métaux rares est très polluante. Afin d’obtenir un produit presque pur, les roches doivent être raffinées. Cette opération demande de les broyer, puis de répéter une dizaine de fois des procédés utilisant pléthore de réactifs chimiques, tels des acides sulfuriques et nitriques.

Autre conséquence, certaines roches faiblement radioactives produisent, de par leur concentration lors de leur raffinage, des déchets radioactifs en quantité non négligeable.

Chapitre 1, « De l’autre côté de l’écran : Bienvenue en hell dorado » – Pages 34 & 35

Chaque tonne de terres rares produites requiert l’utilisation d’au moins 200 mètres cubes d’eau quasiment jamais traitées, chargées d’acides et de métaux lourds et directement évacuées dans les fleuves, les sols et les nappes phréatiques. On ne compte plus les cas de contamination. En 2006, une soixantaine d’entreprises de production d’indium, un métal rare qui entre dans la fabrication des panneaux solaires, déversaient des tonnes de produits chimiques dans le fleuve Xiang, dans la province méridionale du Hunan, compromettant l’approvisionnement en eau potable des populations riveraines. Depuis, ces crises se multiplient, notamment dans le district minier de Baotou, la Silicon Valley des terres rares. Personnellement je préfère l’appeler la Sale Icône Vallée des terres rares, car depuis des années, les associations de défense de l’environnement y dénoncent l’impact de l’exploitation de ces métaux : rejets chimiques toxiques dans l’air, dans l’eu et dans les sols, notamment de thorium et d’uranium radioactifs.

Chapitre 1, « De l’autre côté de l’écran : Bienvenue en hell dorado » – Page 37

En fin de compte, les 70 matériaux nécessaires à la réalisation d’un smartphone, en ajoutant le pétrole et le charbon, impactent quasiment tous fortement la planète. Pollutions de l’air, des sols, des eaux, destruction des écosystèmes, épuisement des ressources, la liste est longue.

Chapitre 1, « De l’autre côté de l’écran : Bienvenue en hell dorado » – Page 40

Une solution : les 5R

La règle des 5R est une recommandation de mode de vie écologique. Son énorme avantage est qu’elle peut être adaptée au numérique assez facilement. Voici donc des solutions simples et efficaces pour réduire les impacts du numérique.

Refuser
Si le premier impact provient de la fabrication des terminaux numériques, il ‘suffit’ d’éviter de les fabriquer. Et pour éviter qu’ils soient fabriqués, il faut tout simplement éviter de les acheter. L’achat le moins impactant est celui que l’on ne fait pas. CQFD.

Le refus d’achat est donc le premier « R », sûrement le plus évident à comprendre mais pas le plus simple à mettre en place face aux injonctions sociales d’avoir toujours le dernier appareil ou gadget à la mode. Aujourd’hui, 88 % des Français changent leur téléphone portable alors qu’il fonctionne encore.2) La question à se poser est simplement : « Ai-je besoin de ce produit ? » en remplacement du traditionnel : « Ai-je envie de ce produit ? ».

Ce premier « R » est probablement le plus efficace dans les solutions présentées ici.
[…]

Chapitre 1, « De l’autre côté de l’écran : Bienvenue en hell dorado » – Page 49

  • Viennent ensuite les 4 « R » suivants : Réduire, Réparer, Réutiliser & Recycler

Nous ne devons plus fermer les yeux sur les impacts de nos appareils et usages numériques. Nous avons notre rôle à jouer dans leur diminution.

Les solutions sont simples, faciles et pratiques, et, pour ne rien gâcher, elles s’appliquent aussi à tous les autres pans de notre consommation.

Alors arrêtons d’être des consommateurs passifs et devenons des consom’acteurs 5R sobres et responsables.

Chapitre 1, « De l’autre côté de l’écran : Bienvenue en hell dorado » – Page 52


Chapitre 3 : « e-sclavage moderne »

En un peu plus de cinquante ans, le numérique qui devait permettre de dessiner un avenir meilleur pour nos sociétés, a eu souvent tendance à oublier la tâche que ses pionniers lui avaient donnée pour ne plus exister que pour autoentretenir un système au profit d’un petit nombre d’élus.

La nécessiter de repolitiser le débat est donc plus que jamais fondamentale. C’est aux responsables politiques de percevoir tous les enjeux à long terme de la numérisation des emplois, aux chercheurs de les éclairer sur le sujet et aux tribunaux de faire appliquer le droit.

Et c’est à nous, citoyens et consom’acteurs, d’aller voir ce qui se cache dans le Turc mécanique qu’on nous présente pour éviter d’avoir à devenir le prochain e-sclave.

Chapitre 3, « e-sclavage moderne » – Page 89


Chapitre 5 : Inconnu à cette adresse

Une vie privée de vie privée ?

En deux ans, Facebook nous connaît mieux que la personne qui partage notre vie. Ce résultat surprenant est celui auquel sont arrivés des chercheurs de l’université de Cambridge. Dans leur étude3), ils souhaitaient évaluer la capacité du réseau social à connaître la personnalité de ses utilisateurs. Les résultats obtenus sont à peine croyables.

Le protocole, relativement simple, se scindait en deux expérimentations et portait sur plus de 86 000 volontaires. Dans un premier temps, les participants devaient répondre à un questionnaire de personnalité de 100 questions. L’algorithme utilisé par Facebook devait alors prédire leurs réponses en fonctions des “j’aime” qu’ils avaient laissés sur internet. L’étude montrait que plus il y en avait, plus les prédictions informatiques étaient similaires aux réponses des participants, jusqu’à des taux pouvant dépasser les 80 %. Deuxièmement, chaque test de personnalité était comparé avec les prédictions faites par les relations plus ou moins proches. De façon surprenante, l’algorithme du réseau social n’avait besoin que d’une dizaine de “j’aime” pour surpasser les prédictions des collègues de travail de ces volontaires. Il en avait besoin de 70 pour surpasser celles des amis, de 150 pour battre celles de famille et de seulement 300 pour être plus précis que le conjoint. Sachant qu’en moyenne un utilisateur “aime” 13 publications par mois4), il fallait donc moins de deux années seulement à Facebook pour collecter les 300 précieuses marques.

La conclusion est sans appel : le jugement des ordinateurs concernant la personnalité des gens sur base de leurs empreintes numériques est plus précis et valable que celui fait par les proches ou connaissances.

L’étude jugeait également « qu’à l’avenir, les gens pourraient abandonner leurs propres jugement psychologiques et compter sur des ordinateurs lorsqu’ils prendraient des décisions de vie importantes, telles que le choix d’activités, de cheminement de carrière ou même de partenaires amoureux. Il est possible que de telles décisions fondées sur des données améliorent la vie des gens. »5)

Cette prédiction digne du plus célèbre roman de George Orwell, 1984, acte ainsi la faisabilité technologique à établir des sociétés de surveillance, où l’individu deviendrait transparent, mettant ainsi fin de facto à la notion fondamentale de vie privée.

Chapitre 5 : Inconnu à cette adresse – Pages 108 & 109

Les régies publicitaires, des machines à cash

Google Ads et Facebook Ads sont les régies publicitaires de Google et Facebook. Leur objectif est de convaincre les annonceurs de payer pour apparaître sur leurs pages et sur celles des sites partenaires. Leur force est de savoir adapter la publicité en fonction des mots clés que tape l’internaute ou de son comportement de navigation. Car les annonceurs ne paient que lorsque l’on clique sur la publicité.

Google et Facebook ont donc tout intérêt à connaître le mieux possible l’internaute afin d’adapter, voire d’anticiper ses envies et lui proposer les publicités les plus pertinentes, celles sur lesquelles il aura envie de cliquer.

Dans ce système, j’ai tendance à nous imaginer comme des vaches. Considérons la vache : elle est nourrie, logée, et soignée et ne se considère pas cliente de l’éleveur. En revanche, elle profite de ce que ce dernier met à sa disposition, alimentation, soin et hébergement. En ce qui concerne l’éleveur, son client n’est pas sa vache mais l’entreprise qui collecte le lait ou le boucher qui achète sa viande. Nous somme comme des vaches qui profitent gratuitement de l’environnement que les entreprises numériques mettent à notre disposition (e-mail, photos, jeux, réseaux sociaux, etc.) pour être traites par elles de nos données et opinions qu’elles revendront auprès de leurs vrais clients, grandes enseignes, commerces en ligne, voire partis politiques.

Et force est de constater qu’ils sont passés maître de ce petit jeux. Ils ont déjà dépassé les trois quarts du marché français de la publicité en ligne6) estimé à 5,78 milliards de dollars. Les perspectives sont bonnes, les deux mastodontes devraient encore creuser l’écart avec leurs concurrents. Au niveau mondial, les revenus publicitaires de Google doivent à court terme dépasser les 100 milliards de dollars, tandis que ceux de Facebook, en croissance de 26,5 %, sont attendus à près de 70 milliards de dollars.

Chapitre 5, « Inconnu à cette adresse » – Pages 111 & 112


Chapitre 6 : « Toutes les informations ne se valent pas »

Développons notre hygiène numérique !

Quelques acteurs du numérique, privés ou étatiques, influencent largement notre vision du monde en favorisant du contenu orienté socialement ou politiquement. Ils nous procurent un sentiment de colère ou de confort pour rendre le message ou la publicité qui l’accompagne plus attractif, addictif, viral.

Et comme pour tout virus, nous devons nous immuniser. Pour le digital, j’appelle cela l’hygiène numérique. Nous ne pouvons lutter contre l’influence de pays tiers ou la prééminence des Gafam. Mais nous pouvons tous en limiter les impacts pour nous et nos proches.

Cela commence par comprendre comment se déroule la transmission de la désinformation, notre rôle dans le processus et également, comment on nous manipule. Puis viennent les petits gestes simples qui permettent de limiter les risques d’exploitation abusive de nos données personnelles. Désactiver la géolocalisation, ne pas faire confiance à tous ces petits programmes inconnus, ne pas donner son avis sur tout, vérifier à quelles applications tierces vous avez donné quelles autorisations, et toujours douter de ce qui circule sur internet si cela ne vient pas d’une source journalistique connue.

N’utilisez pas systématiquement vos comptes Google ou Facebook pour vous connecter à des sites tiers au risque qu’ils en sachent encore plus sur vous. Supprimez régulièrement vos données chez ces acteurs.

Bref changez de paradigmes en ne disant pas « j’accepte » systématiquement, mais « je refuse » sauf si la confiance s’impose. Méfiez-vous des informations transmises par vos proches car, dans ce domaine, seule compte la source journalistique ou scientifique d’un média ou d’un organisme clairement identifié et reconnu.

Optez pour des outils ou des services alternatifs mais performants et n’hésitez pas à faire respecter vos droits grâce au RGPD.
Bref, (re)devenez ce citoyen engagé qui, sans forcément changer le monde, y contribue.

Chapitre 6, « Toutes les informations ne se valent pas » – Pages 152 & 153


De Janus à Minerve

Les actions clés pour un numérique responsable

Appliquez la règle des 5R :

  1. Refuser l’achat de matériel ou de services numériques quand vous le pouvez.
  2. Réduisez la consommation de biens digitaux au strict minimum.
  3. Réparez vos équipements en priorisant les artisans de proximité.
  4. Réutilisez tout ce qui peut l’être.
  5. Recyclez correctement tout ce qui ne peut pas être réutilisé.

Prenez conscience que derrière bon nombre de matériels ou services numériques, se cache souvent une exploitation de salariés, qu’ils soient à l’autre bout du monde ou sur un vélo pour vous livrer un repas.
Accrochez-vous au concept de vie privée et ne donnez pas accès à vos données aux acteurs du numérique, même si « vous n’avez rien à cacher », et comprenez que la numérisation de l’économie est parfois plus un outil d’asservissement et de contrôle que d’émancipation.
Faites travailler votre esprit critique devant toute interface ou information numérique.
Informez-vous sur les technologies autant que sur les sociétés pour faire des choix les plus éclairés possibles.
Garantissez vos libertés individuelles en utilisant des outils numériques adaptés.
Agissez de façon responsable en ayant toujours à l’esprit les deux faces du numérique.

« De Janus à Minerve » – Pages 188 & 189

Notre Vieux continent doit mettre la technologie au service des personnes, développer une économie plus juste et compétitive et enfin œuvrer pour une société ouverte, démocratique et durable. […]

[L'auteur] croit fondamentalement à une troisième voie numérique portée par la France et l’Europe entre l’ultracapitalisme américain et la surveillance généralisée chinoise.
Dès aujourd’hui nous devons reprendre le numérique en main, pour passer de Janus à Minerve, déesse de la pensée élevée et de l’intelligence.
Demain, l’acte de résistance suprême sera peut-être de remettre l’humanisme au cœur du système numérique.
En serons-nous capables ? [Vincent Courboulay] le croit.

« De Janus à Minerve » – Pages 189 & 190


Articles divers, podcast & vidéos qui parlent du livre

Revue de presse

Ce livre facile à lire fait le point sur les travers du numérique sans pour autant préconiser d’y renoncer. Céline Mouzon, Alternatives Économiques

Nous ne pouvons plus fermer les yeux sur les impacts de nos appareils et usages numériques. Ce constat social et environnemental posé, Vincent Courboulay, ingénieur, déroule les solutions qui s'offrent à nous. WE DEMAIN

Ici, Vincent Courboulay nous invite à réfléchir à la façon dont nous pouvons atteindre une certaine sobriété et repenser nos usages. L'écolomag

Vous pourrez allumer votre ordinateur ou votre smartphone en connaissance de cause. Carine Fernandez, L'hebdo de Charente-Maritime


Poursuivre la réflexion avec d'autres livres...

Sobriété numérique - Les clés pour agir

Numérique responsable - L’informatique peut-elle être écologique ? (Magazine Kaizen, hors-série)

Cyberminimalisme - Face au tout-numérique, reconquérir du temps, de la liberté et du bien-être

La guerre des métaux rares - La face cachée de la transition énergétique et numérique

L'Âge des low tech - Vers une civilisation techniquement soutenable - Livre de poche

La Servitude électrique - Du rêve de liberté à la prison numérique

Voir aussi :



Pages dans la catégorie :

1)
Le guerrier troyen Achate est l’écuyer d’Énée et son compagnon de tous les instants. Achate est devenu le symbole de l’ami fidèle.
2)
« Les impacts du smartphone », ADEME, 2019
3) , 5)
Wu Youyou, Michal Kosinski et David Stillwell, « Computer-Based Personality Judgments Are more Accurate than Those Made by Humans », PNAS, vol. CXII, n°4, janvier 2015, p. 1036-1040.
4)
« Les chiffres clés des réseaux sociaux 2019 », OnlySo, 1er février 2020
livres/vers_un_numerique_responsable_-_vincent_courboulay.txt · Dernière modification : 2022/01/29 15:50 de Un utilisateur non connecté